La cuisine de Jiminy

  • Buck’s caramel pécan, bread au sarrasin bien doré voire légèrement caramélisé, qui accueille deux belles noix de pécan.
  • Des myrtilles bien juteuses qui ont rendu leur sirop, une mie câline et des amandes hachées.
  • Le carrot cake version banana bread, et son glaçage dont on ne se lasse pas. Il est un peu imparfait, pas vraiment solide, il apporte juste l’humidité qu’il faut.
  • Le snack bread aux gaufrettes Caprice. On peut apercevoir du chocolat fondu. En réalité, c’est leur garniture chocolat-noisette.
  • Le fluffernutter bread. La craquelure est brillante, la mie paraît humide, mais ce sont les marshmallows qui font cet effet.
  • Le bread compote de pomme et poire, avec ses éclats de cacahuètes qui viennent habiller le dessus.
  • Le snickers bread et sa coque en chocolat, caramels mous et cacahuètes. C’est moelleux et humide comme un banana bread. Mais croquant, plutôt riche et surtout décadent à la fois.
  • Le S’more. À l’intérieur, c’est un duo de chocolat et de marshmallows fondus qui donnent toute son humidité au bread.
  • Le berry banana bread. En ouvrant, on découvre une garniture aux fruits rouges d’une générosité assurée.

La plus grosse mise à jour jamais créée par l’Humanité depuis la création du banana bread

63 banana breads. Soixante. Trois.

Vous les trouverez dans une toute nouvelle collection Bread Américain créée pour l’occasion.

Ça a demandé un temps absolument monstrueux à publier, c’est le fruit de plus d’une année à perfectionner la recette pour permettre 1001 déclinaisons à base d’ajustements et de substitutions. Évidemment, aucun suspens vu la quantité qui en résulte : ça fonctionne.

Des centaines de bananes à faire mûrir, des accords à trouver, des petits détails à changer ici et là, et tout un tas de choses à expérimenter puis à tester. Des milliers de Calories ingurgitées puis brûlées lors d’activités physiques, ce qui démontre aussi qu’ils ne sont pas un trop mauvais carburant.

Au fond, l’idée est super simple : baisser la quantité de mauvaises graisses (acides gras saturés) et de sucre, et booster la quantité de fibres et protéines. Ce faisant, on obtient des mini cakes bien portionnés et consommables à tout moment de la journée, y compris au petit-déjeuner pour ceux qui n’arrivent pas à envisager le salé le matin.

Trêve de bavardage, le modèle de base est le suivant :

  • 220–240g de farine ou mélange de farines
  • 15g de cacao amer non sucré (facultatif)
  • 200–220g de bananes ou kakis très mûrs en purée, ou compote de pomme
  • 2 œufs
  • 100g de yaourt, fromage blanc, crème, avocat, compote de pomme…
  • 30g d’édulcorant (base sucre, à calculer selon le pouvoir sucrant)
  • ¼ cuillère à café soit 2g de levure chimique
  • ¼ cuillère à café soit 2g de bicarbonate alimentaire
  • extrait de vanille
  • pincée de sel

Et vous y ajoutez ensuite ce dont vous avez envie.

C’est quasiment bulletproof, on obtient le moelleux caractéristique du cake à la banane, en version poche. Et comme la collection pourra j’espère le prouver, c’est versatile au point d’envisager une diversité de mariages heureux d’ingrédients.

ENJOY !

Publié par @JayPanoz le 27 Jan, 2024